Relever les nombreux défis imposés par le développement

Le développement et les années de croissances présentent aujourd’hui leur facture à la France. La conjoncture, quel que soit le secteur, est peu reluisante. Le pays fait face à tellement de défis. Les problèmes socio-économiques sont nombreux, pour ne citer que l’inflation et l’importance des inégalités sociales qui ne cessent de se creuser. Les divergences politiques sont grandes, ce qui est à l’origine de violents mouvements sociaux. Ces derniers entraînent le ralentissement d’une économie déjà fragilisée par les années de pandémie. La croissance démographique, même si elle tend à ralentir, attise les difficultés. Ses impacts négatifs se font surtout ressentir dans le domaine environnemental.

L’aménagement du territoire, mis en œuvre par les collectivités avec l’aide d’un bureau d’études en environnement, apporte une partie des solutions à ces problèmes, car une meilleure gestion de l’espace permet de restaurer un certain équilibre. Concrètement, l’aménagement du territoire organise et réorganise l’espace afin que la population bénéficie, de manière égale, des ressources qui s’y trouvent. On aboutit ainsi à la satisfaction des besoins de chaque individu, qu’il appartienne à la génération actuelle ou future. En effet, cette affectation harmonieuse des ressources empêche leur exploitation outrancière.

Même si une utilisation optimale des ressources est indispensable, elle ne suffit pas à reconstruire une société égalitaire. Leur utilisation durable est également nécessaire. Ces deux caractéristiques supposent une gestion stratégique du territoire français, de tout l’espace dont dispose le pays. En quoi les expertises d’un bureau d’étude en environnement permettent-elles d’adopter efficacement cette démarche ?

Le rôle incontournable des bureaux d’études environnement dans l’aménagement du territoire

L’aménagement du territoire est un domaine complexe. Les problèmes environnementaux ont exacerbé cette complexité. Voilà pourquoi, il est judicieux de s’appuyer, entre autres, sur les avis d’un bureau d’étude en environnement. Pour illustrer et démontrer ces propos, on peut évoquer le cas d’ASE Conseil. Ce dernier détermine les conséquences sur l’environnement des décisions que compte prendre une collectivité dans le cadre de sa politique d’aménagement du territoire. Non seulement, ce bureau d’étude détermine les impacts positifs et négatifs de la stratégie, mais en plus, il apporte des solutions.

L’objectif est de limiter ces répercussions néfastes pour l’environnement, voire d’empêcher qu’elles se produisent. Il y a donc une notion « d’ajustement » dans son intervention. ASE Conseil peut même se lancer dans l’élaboration de projets entièrement durables. Ce bureau ne se contente pas de donner des conseils et des recommandations théoriques. Il intervient aussi sur le côté pratique. Son équipe est aux côtés de la collectivité lors de la réalisation du projet. Son expertise n’est pas seulement scientifique et règlementaire. Elle est également technique. C’est la raison pour laquelle elle est en mesure d’accepter le pilotage intégral d’un projet d’aménagement du territoire de la phase d’élaboration à l’achèvement de sa mise en œuvre intégrale.

Des exemples d’initiatives préconisées par un bureau d’étude en environnement

La France vit au rythme de la transition énergétique. Dans un contexte de sobriété énergétique, les experts du bureau d’étude cherchent des solutions pour permettre l’intégration réussie des énergies renouvelables dans les projets d’aménagement du territoire. Ils vont trouver le moyen de conserver les espaces naturels dans le cadre d’une expansion urbaine ou de la création d’une zone industrielle ou d’une ZIP. Le bureau d’étude peut être consulté pour savoir comment économiser les ressources en eau sans pénaliser les utilisateurs. Grâce aux compétences d’un bureau d’étude, une collectivité a l’assurance que son projet d’aménagement est conforme aux réglementations nationales, européennes et internationales en vigueur.

Développement économique et préservation de l’environnement

Voilà le couple que permet de former un bureau d’étude. Grâce à son intervention, les préoccupations environnementales ne sont plus un frein au développement économique et social. Ce dernier se déroule dans le cadre d’une préservation entière de l’environnement. Bien sûr, en théorie, cela semble facile. Dans la réalité, le travail d’un bureau d’étude n’est pas de tout repos. En effet, il doit tenir compte des intérêts des différents acteurs impliqués dans le projet et ceux qui sont concernés par sa mise en œuvre (les bénéficiaires et ceux qui vont se sentir lésés ou victimes).

La raison principale pour choisir le DIY

Pour les fans de décoration d’intérieur, il est évident, voire même ingénieux, de s’orienter vers la création. L’authenticité, la simplicité et l’écologie sont les bases de la création DIY. Si vous êtes naturaliste, il est de votre devoir en tant que protecteur de la planète et de l’environnement de sensibiliser vos proches. Non seulement les modèles de décorations DIY sont, dans la majorité des cas, très stylés, mais le temps de laisser son imagination opérer, vous passerez de bons moments avec vos proches. De plus, la satisfaction personnelle obtenue à partir de ces petits bijoux que vous aurez fabriqués vous-même est inégalable.

Mettez-vous à la création DIY

Pour les amateurs et professionnels en art, les créations faites par soi-même restent les meilleures. C’est également le cas des décorations DIY. Do It Yourself est devenu le passe-temps favori de nombreuses personnes, surtout des jeunes. En plus, cela est valable pour tous les domaines, mais pas seulement pour l’art ou la décoration. Dans ce concept, tous les matériaux servent à la fabrication. Dans l’élaboration du Do It Yourself, rien ne se perd, car tout se transforme. Cela signifie que sur le plan écologique, le DIY est en première place de classement. C’est également un moyen très rapide et efficace de tisser des liens amicaux, familiaux et même amoureux. Économiser, c’est le principal avantage à travers cette pratique, bien sûr au-delà de l’amusement. L’esprit créatif dans chacun des pratiquants de cette tendance s’élargit, peu importe son âge. Pour les enfants, le DIY est un système d’éveil psychologique de plus en plus utilisé au sein des centres éducatifs.

L’impact des activités des entreprises sur l’environnement

Il est indéniable de reconnaitre qu’une entreprise, quelle que soit sa taille, consomme et détériore la nature. Que ce soit à travers les matières premières qu’elle utilise dans son processus de production ou encore, l’utilisation en eau et en énergie, tout ceci impacte l’environnement et la nature. Mais une entreprise utilise également des moyens qui peuvent détériorer la nature, comme le nombre d’employés engagés dans une opération, le moyen de déplacement utilisé, les équipements de production, etc. Ces derniers sont des facteurs de pollution divers qui ont des effets immédiats sur l’environnement. On peut aussi noter que les produits fabriqués et mis en vente par les entreprises sont sources de problèmes au niveau environnemental. À chaque étape de leur cycle de vie, ces produits peuvent avoir des effets néfastes sur l’environnement. Et cela, de la production jusqu’à la démarche de recyclage. Les entreprises doivent de ce fait, s’aligner aux différentes politiques de développement durable pour préserver la qualité de l’environnement et assurer que leurs actions n’aient pas trop d’effets négatifs sur la nature et son évolution.

Les objectifs attendus chez une entreprisse dans le cadre du développement durable

Pour qu’une entreprise soit vraiment responsable et qu’on puisse évaluer son degré d’implication face aux enjeux du développement durable et de la préservation de la qualité de l’environnement, dans ses actions, elle devrait viser quelques objectifs essentiels. Le premier étant d’évaluer les risques qui pourraient avoir des effets sur l’environnement et de les maitriser. Elle doit aussi savoir positionner son produit et ses services, mais aussi, son système de production et les moyens utilisés pour que ces derniers soient respectueux de l’environnement. Ceci, on gardant l’aspect à la fois attrayant et utile du produit, pour les consommateurs. Une entreprise devrait aussi, savoir réduire les coûts de production en utilisant le moins de ressources possibles, mais aussi, le moins d’intermédiaire pour limiter les transports, etc. Et enfin, elle doit être capable de mettre son image en valeur, avec des actions sociales et environnementales pérennes et réfléchies qui apportent à la société.

Le réchauffement climatique en France

On assiste actuellement à une augmentation rapide des températures. En France précisément, l’on assiste à l’augmentation considérable de 1.4°C de la température depuis 1900 jusqu’à aujourd’hui. Cette hausse de la température s’accentue surtout pendant le printemps et l’été. On remarque également que les jours de gel pendant la période hivernale a diminué suite à ce bouleversement climatique. Par l’effet domino, on assiste à une augmentation du nombre des jours avec une forte température pouvant dépasser les 25°C.

En ce qui concerne les précipitations, elles sont devenues plus présentes en hiver et moins présentes en été. De ce fait, la période de sécheresse est beaucoup plus ressentie. Ce qui cause une chaleur presque insupportable pour l’Homme.

Les conséquences du réchauffement climatique

Bien évidemment, l’analyse des conséquences du réchauffement climatique doit se faire suivant une prévision dans le temps. Une étude a permis de dire que si le problème du réchauffement climatique n’est pas résolu à temps, on risque d’assister à une canicule pouvant atteindre les 43°C en France vers les années 2050. Pour pouvoir sortir un chiffre pareil, une étude basée sur les données de canicule durant ces dernières années a été faite. Cela dans le but de se projeter sur les réels problèmes climatiques qui touchent la France.

Quant aux conséquences au niveau mondial, la liste est un peu plus longue. Outre la malnutrition et la sous-alimentation qui touchent déjà la population et surtout les enfants dans les pays les plus pauvres du monde, il y a les maladies transmises par des insectes. Si tout cela continue, on peut alors estimer 300.000 décès par an vers les années 2030 et suivantes. Sans oublier les diarrhées et les stress qui sont autant d’effets de la chaleur sur la santé. Il ne faut pas également oublier les maladies infectieuses qui sont également des conséquences du réchauffement climatique. Plus l’on assiste à une augmentation de la température, plus il y a une augmentation des zones chaudes et plus les insectes se développeront et risqueront de propager toutes sortes de virus.

En termes de revenu et de production agricole, puisque certains pays et certaines régions sont plus touchés que d’autres, on pourrait assister au phénomène de migration climatique. En effet, en manque de nourriture et de production agricole, les populations préfèrent quitter leur pays et migrer vers d’autres pays qui selon eux présenteront beaucoup plus d’avantages pour leurs situations économique et sociale.

Il est donc important de se réveiller et de trouver des solutions immédiates et efficaces pour lutter contre le réchauffement climatique. Ces solutions ne sont pas forcément d’ordre étatique. La lutte contre le réchauffement climatique résulte d’un constat personnel que vous faites sur vous-même. Pour inverser la situation, chaque citoyen du monde doit y mettre du sien et adopter des attitudes plus écologiques.

Qu’est-ce que la collecte sélective ?

La collecte sélective est un procédé qui consiste à ramasser les déchets ménagers auprès de particuliers pour les traiter selon leurs spécificités. Les déchets peuvent être des déchets fermentescibles dans ce cas, mais aussi des plastiques, des cartons, des journaux ou encore des papiers. La mise en place des mesures de collecte sélective par les collectivités locales est le gage de la réussite de ce système. C’est un modèle circulaire qui engage les ménages, les collectivités et les agences de recyclage spécialisées. Dans le processus, les ménages effectuent leur propre tri tandis que les collectivités se chargent de la distribution et de l’entretien des récipients de tris ainsi que de l’acheminement des déchets vers les centres spécialisés. Ensuite, chez les sociétés de recyclage, il existe de nombreuses manières de triage de déchets à savoir les points de collectes volontaires pour les appareils électroménagers, les papiers ou les cartons. On peut aussi opter pour la collecte sélective ou mixte au porte-à-porte. Ce procédé consiste à faire la sélection de ses déchets chez soi avec des sacs de couleurs spécifiques. Le service de la voirie se chargera ensuite de récupérer les déchets selon leur type et les enverra aux centres de recyclage en fonction du type de déchet collecté.

Quels sont les objectifs de la collecte sélective ?

La vulgarisation de la collecte sélective entre dans une logique de revalorisation des matières organiques usées. Elle répond à plusieurs objectifs spécifiques liés à la protection de l’environnement. Tout d’abord, la collecte sélective vise à encourager le réemploi et la réutilisation des déchets. L’exploitation de nouvelles matières polluantes va ainsi être diminuée progressivement. On évitera également la destruction par enfouissement ou par incinération des déchets qui ne disparaissent pas définitivement et qui peut impacter et polluer le sol, mais aussi la nappe phréatique. En effet, l’enfouissement ne permet que la réduction du déchet en particules fines qui mettra longtemps à se désintégrer entièrement. Pour terminer, la collecte sélective contribue à la réduction de son empreinte écologique. Grâce aux différentes opérations de tris, vous effectuez un geste écologique pour la planète.

Devenir une entreprise verte, quel intérêt ?

En fait, se mettre au vert rapporte de l’argent. La cause la plus évidente est l’amoindrissement ou la suppression de certaines dépenses. Les coûts opérationnels comme la gestion des matériaux ou les coûts énergétiques se sont trouvés réduits. Ce qui a permis de dégager un certain bénéfice. Les petites entreprises qui se sont engagées sur la voie écoresponsable ont plus de facilité à se trouver des partenaires. Les produits de ces mêmes entreprises trouvent plus de clients. Ces derniers étant de plus en plus exigeants.

Comment y parvenir ?

Dans le quotidien de l’entreprise, de petits changements suffisent. Il n’est pas question de régresser, mais de savoir user intelligemment des outils modernes mis à disposition. Il est bien pensé de faire le gros du travail par ordinateur ou sur un support électronique. Cela réduit la consommation de papiers, et les déplacements. Comme tout peut se faire à distance, il n’y plus besoin de mettre plusieurs véhicules à la disposition d’une seule entreprise. Néanmoins, il faut penser au coût énergétique de ces gadgets, et agir en conséquence. Préférer éteindre les ordinateurs que les mettre en veille, ne pas abuser du chargeur de smartphone sous prétexte qu’il sert beaucoup. De la même manière, l’attitude générale des employés est à revoir. Inutile de sans cesse toucher au chauffage. Il n’est pas écologique de mettre une minirobe sous son manteau en hiver, pour mettre le chauffage à fond une fois arrivé au bureau. Ce genre de comportement contradictoire est pour beaucoup dans la dégradation de l’environnement. Ce dernier assure le confort de tous, et un employé le détruit par égoïsme.

La consécration du droit à un environnement sain dans les Constitutions de chaque pays

S’il est impossible d’échapper aux lois de la nature, il faut les accepter, la première est que toutes les actions de l’Homme ont un fort impact sur l’environnement, la seconde est que la biodiversité est interdépendante, par conséquent, si une action de l’Home porte préjudice à un aspect spécifique, cela aura des conséquences sur tout le reste. Ainsi a-t-il fallu assortir le droit à l’environnement sain de sanction. La meilleure protection que les pouvoir publics pouvaient leur donner était de l’ériger en droit fondamental.

L’adoption de la convention d’Aarhus, une étape importante dans la promotion du droit à un environnement sain

Auparavant, le droit à un environnement sain n’était pas justiciable devant les juridictions nationales. Ainsi, si une personne estimait qu’il vivait dans un environnement qui n’était pas propice à un développement durable, il n’avait aucun recours. C’est uniquement avec l’intervention de la convention d’Aarhus que cela fut possible. Cette convention a pour but d’offrir aux citoyens une place dans les débats environnementaux. Ces derniers peuvent désormais exiger une transparence dans la gestion des ressources naturelles. Selon cette convention, toute personne pourvue d’un intérêt et d’une qualité à agir a le droit de s’impliquer dans les décisions en matière environnementale et le cas échéant, y exercer un recours. C’est ainsi que désormais, les tribunaux sont devenus des outils empiriques de protection de l’environnement.

Un manque de surveillance

C’est visible aussi bien en France que partout ailleurs, il y a un véritable manque de surveillance dans l’application des politiques de protection de l’environnement. Les entreprises trouvent toujours une manière de se dérober de leurs responsabilités.
En France, un exemple très proche est possible, ce qui a fait notamment la une des réseaux sociaux et des journaux il y a quelques mois. En 2017, les habitants du 15e arrondissement de Marseille se sont plein de la politique de déchet des sociétés avoisinantes ainsi que des particuliers qui consistait essentiellement à simplement jeter leurs ordures dans une des rues de cette zone : la rue joséphine. Aujourd’hui, la situation est telle que l’odeur et le paysage sont devenus insupportables pour les voisins. Il faut dire que cela fait des années que la situation dure sans aucune intervention venant des autorités.

Des sanctions pas réellement satisfaisantes

Et combien même les autorités interviennent, les sanctions ne sont pas réellement satisfaisantes. Elles commencent par un simple avertissement, et au pire, il faudra remettre en état les lieux en nettoyant la pollution. C’est notamment le cas lors de déversement de pétrole dans la mer. L’entreprise qui est à la base de la pollution doit prendre en charge le nettoyage de cette partie de l’océan sous la surveillance des organismes ayant autorités en ce sens. Le problème étant, la remise en état ne sera pas totale. Une mer polluée ne sera pas pour autant propre comme avant, sans compter les habitants qui ont déjà subi les conséquences de ces dégâts.
D’autres entreprises, malgré une pollution flagrante et une attaque contre la protection de l’environnement, en rasant par exemple une partie de la forêt d’une région dans l’exercice de leur activité, s’en sortent plutôt bien. Il ne leur suffit que de quelques milliers d’euros d’amende, sans aucune sanction pénale.